J’ai mal à la tête, j’ai mal au cœur, faites que l’on arrête, appelez-moi le contrôleur. C’est comme une machine à fond de train, une locomotive qui foncerait sans fin. Des coups, des secousses, je n’m’habitue pas. Qui conduit, qui pousse ce train, qui sait où il va?
J’ai mal à la tête, j’ai mal au cœur, faites que l’on arrête, appelez-moi le contrôleur. Je veux qu’on m’explique, je veux quelqu’un, en cas de panique c’est écrit là -haut: « tirez sur le frein à main ». Et toi qu’est-ce que tu fous là, sur ton sofa, à côté d’moi. Tu vois pas que j’crève, que j’suis vidée, que j’ai plus de sève, que je vais lâcher. Regarde-moi, dis-moi les mots tendres, ces mots tout bas, fais-moi redescendre loin de tout, loin de tout ça. Je veux, je demande, regarde-moi. J’ai besoin de tes yeux, c’est le miroir où j’existe. Sans eux, je ne me vois pas. Mais tout nous aspire, petits et grands, faut montrer le pire ailleurs pour accepter nos néants. Si t’y prends pas garde, avec le temps, tu te fous des gares et jamais plus tu ne redescends. Les tempes qui cognent, ça me reprend ou tu te raisonnes ou tu prends des médicaments. Mais je voudrais savoir, une fois seulement, la fin de l’histoire et pourquoi, où et comment qui sont les bons et les méchants?
Je ne me prends pas pour Céline mais je suis CD quand même, et j’aime voyager souvent en train et peu en avion alors je vais faire un petit tour. J’ai mal à la tête, j’ai mal au cœur, mais c’est pour autre chose…
il faut tenir bon et tenter de positiver il faut bouger, faire qq chose pour se changer les idées
Merci, c’est ce que j’ai fait
Coucou Catherine. Je comprends ce que tu traverses, même si je n’ai pas idée de la souffrance que tu/vous endures/endurez. Je te souhaite du courage et espère qu’un jour tout s’éclaircira. Je/nous suis/sommes là! Plein de bisous!
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