Quand la nuit tombe, la maison est tranquille et on n’entend que la neige qui étend doucement son manteau blanc…
Oups, j’ai du dormir, mais je ne suis pas confuse, j’étais bien sans doute. Je suis là, je lis et comprends que je pourrais accepter l’AI de décembre… alors là je suis émue et confuse… Je ne pense pas être douée pour des idées merveilleuses comme celles des autres, je n’en ai qu’une qui me trotte dans la tête ces temps-ci: la FIN mais on peut peut-être faire quelque chose autour de ce thème…
J’ai donc cherché les synonymes du mot fin, et en voici une liste incomplète: bout limite terme cessation achèvement aboutissement but objectif issue arrêt chute suspension sortie
L’idée qui me vient soudain serait de construire un texte avec toutes ou parties des dernières phrases des textes sélectionnés dans la troisième étape de l’épopée du Pingouin. Les liens vers ces textes sont ici (ou ci-dessous) et oui, je l’avoue, je me suis attachée à cet animal.
Et l’AI pourrait être celui de l’OND (octobre, novembre et décembre). OND !? c’est un mot islandais signifiant respiration, esprit et… canard (je souris, l’idée est bonne car c’est très proche du pingouin, non ?). C’est aussi le nom d’une organisation: l’OND s’efforce d’éveiller les esprits en invitant au voyage et à l’exploration d’horizons inédits grâce à des événements atypiques (là, je ne me fais pas de souci, c’est l’esprit de l’AI ). Les événements OND sont pensés comme des voyages, où le public peut partir à la découverte de nouveaux artistes aussi bien locaux qu’internationaux (lol, le public et les artistes internationaux, c’est un peu fort je vous l’accorde, mais on est là pour sourire et rire, alors… ) . Mais c’est également le fruit d’une réflexion scénique issue d’une collaboration de longue durée…(là on est en plein dedans) Et plus loin, en suédois, ond voudrait dire mauvais, hargneux, fâché, méchant, malfaisant.
Alors je compte sur votre humeur et humour (ou déception et hésitation) pour écrire, sourire, prendre plaisir, rêver, voyager, conter, poétiser, broder, tricoter… avec ces mots et autour de ceux mis en gras.
On se donne jusqu’au 26/12 pour poster un texte, avec un lien (ou l’écrit si vous n’avez pas de blog) en commentaire ci-dessous.
Les écrits pour la 3ème étape et leurs dernières phrases étaient :
https://victorhugotte.com/2018/11/09/conversation-agenda-ironique-de-novembre/
avec « Incroyable ! Sens-tu l’air chargé d’iode, le goût du sel qui pénètre la peau ? Regarde ! La mer s’approche, c’est marée haute. Regarde, l’étendue mergnifique. ». Je regardai. Oui, la mer s’étalait, devant nous. »
https://epaisseursansconsistance.com/2018/11/10/le-copain-dapres/ avec « Tandis qu’ils riaient à nouveau, Madeleine se leva, incommodée par le grognement des mioches, s’approcha de son amie et lui glissa à l’oreille : « Paradoxalement tu deviens drolatour avec cette diatribe, trouverais-tu que je sens la crevette arctique ? ». »
https://monesille.wordpress.com/2018/11/11/le-forfait-de-monesille/
avec « Fatalimace ! Nous voici en insolitude ! La route court sous l’eau d’artificelles habitudes ! Met tes bottes, enfant. Les écriames et les pingouinations attendront que la polimalie des virgules se solve en délibules mirifiques ! »
https://marinadedhistoires.wordpress.com/2018/11/10/maria-rosalie-et-leurs-divagalogues/
avec « Alors, on n’a qu’à prononcer des mots d’amour comme ça, ils se tiendront chaud ! »
https://differencepropre.wordpress.com/2018/11/24/3eme-etagendomne/
avec « Ma mère lui offrit des jumeleines, que nous mangeàmes en nous fixant les yeux dans les yeux un rendez-vous créaginaire. »
https://laglobule2.wordpress.com/
avec « A ce moment là, Onésime réalisa à quel point il était en retard. Les Douze Coups de Midi sonnaient au clocher et les odeurs de brioche remplaçaient allègrement celles des Mc Bacon et autres Cheeseburgers. Il s’empressa de rentrer chez lui, honteux et confus, et jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y prendrait plus. »
https://patchcath.wordpress.com/2018/11/08/parangouinage-pour-un-agendapplique/
avec « Pas encore. La pinguouination est assez complexe, il va me falloir plus de temps. »
https://jobougon.wordpress.com/2018/11/06/la-bouteille-de-champagne/
avec « Chuuuutttt, Elodie, ils sont pour moi, les derniers mots de la fin !Tu peux pas t’en empêcher ! Pffff ! C’est pas moi, c’est le Zébulon. »
Pingback: Ne pas perdre de temps – patchcath
Pingback: « Ils passèrent ensuite une seconde d’inattention à se tortiller | «Le dessous des mots
Fameux fin mot pour l’ai de l’ond ¸.•¨¯`♥* ¸¸.•*¨*• ☆
Pingback: Braises d’agenda, l’actualité brûlante de l’önd | L'impermanence n'est pas un rêve
Il est temps que le votdefin arrive pour stopper cette polimalice aiguë 😉
Pingback: Fatamalice, l’année court à sa fin ! | Carnets Paresseux
Merci Dodo, Mirififique hymne à l’an qui se termine en saluant tous les animaux et personnages qui nous ont fait tournebouler pendant douze doux mois,
et mergnifique hommage à l’année qui se pointe .
Je te confierai l’AI de l’an dit neuf, mais je sonderai quand même après le 26/12
¸.•¨¯`♥* ¸¸.•*¨*• ☆
Pingback: Hiver de ma vie – patchcath
Pingback: Hargneux, le Zébulon de l’önd ? | Carnets Paresseux
Bravo Carnets 😉 Paresseux porte bien son nom, avec tout mon sourire.
Bonsoir
Enfin, je reparticipe à l’agenda, avec ce texte à lire sur Les mots autographes:
https://jacou33.wordpress.com/2018/12/13/agenda-ironique-decembre-2018/
A bientôt
Quelle fin Jacou, quelle prose, c’est mergnifique !
Pingback: Agenda ironique décembre 2018 | Les mots autographes
oh, la la ! j’ai failli rater la fin , enfin d’and ! pardonnez moi je n’ai pas les bonnes lunettes ce soir, c’est compliqué de relire ce que je tape au clavier !
je m’y attelle !
A biêntot !
Tout doux, Monesille, le temps ne passe pas si vite… d’ailleurs à l’heure où tu as écrit, seules les étoiles dans le ciel sont encore debout 😉 et … je ne sais pas si elles portent les bonnes lunettes…
Pingback: Accrocher des chaussettes sur la cheminée – patchcath
J’en ai repris une tranche.
https://jobougon.wordpress.com/2018/12/08/la-dynastie-des-morts/
😀
Ah ça ne m’étonne pas de toi, mais dans ce cas-là… on peut dire tranche de vie et bouffée d’air pour une soif de vivre et fin de vie 😉
Pingback: Chat noir, chat noir, vous avez dit chat noir ? | L'impermanence n'est pas un rêve
J’aime bien Chat 😉
Que voici une propositiond qui me transporte sur les onds de l’inspirationd !
Oh chic, alors à l’ond… 😉
Onésime a repris de l’activité pour ton nouveau défi, toujours sur https://laglobule2.wordpress.com – rubrique « Onésime au Pingouinzoo »
Bonsoir à toute l’équipe des écriberlu(e)s
On ne se lasse pas des personnages attachants comme celui-ci… Jolie écriberlue chez toi-aussi où des poussins naissent en décembre, et qu’on réchauffe en prononçant des mots d’amour 😉
Pingback: L’épopée du Pingouin – Palimpzeste
Un très beau poème et une illustration magnifique, merci 😉
Pingback: Un canard paresseux sur l’önd | Carnets Paresseux
Un bien joli texte et discussion originale en cette période de l’Avent pour des canards paresseux qui, pour beaucoup, passeront à la casserole en fin de mois 😉
et ma participation est là: https://patchcath.wordpress.com/2018/12/04/on-entend-la-neige-tomber-doucement/ 😉
Pingback: On entend la neige tomber doucement – patchcath
Voilà, un petit jeu d’assemblage, genre patch … work 🙂
https://asimon.eu/blog/agenda-ironique/week-end-a-zuydcoote/
Jolie tranche de vie en bord de mer composée magnifiquement 😉
Pingback: Week-end à Zuydcoote. - Cemondeblog
Un peu (!) perdu et manquant de temps, j’ai laissé dériver… Mais l’idée de picorer dans la fantaisie des autres me plaît assez.
Merci André, ce serait bien que tu prennes le train de ce mois-ci, plus on est nombreux, plus la fête est réussie, non? et c’est d’ailleurs pour palier le manque de temps que j’ai tout répertorié, comme l’avait fait Jo déjà la dernière fois.
Superbeidée ; j’ai fait passé l’infö ; maintenant, je sönge, je sönde et je vöis à ne pas manquer le röndez-vous,cette föis !
le clap de fin est pour quand ??
J’ai vu, j’ai vu, et c’est super ! Grand Merci 😉
Ah, le clap de fin ! Telle est la question , et c’est une très bonne question, on va dire le 26/12, non ? comme ça, s’il se passe qqchose à Noël qu’on voudrait raconter…
et ça me donnera le temps de… rien du tout mais j’en aurai quand même 😉 l’AI a des règles qu’on ne suit pas toujours, et la fin de ce mois-ci est un peu spéciale, Aie aie aie (Agenda Ironique Espécial)
Écoute, celui qui poste le 31/12 sera répertorié mais on saura qu’il ne veut pas qu’on vote pour lui. D’ailleurs va-t-on voter? parce que je ne me rappelle plus très bien comme on fait tout ça…
Bon jour,
Voilà que voici ma modeste participation après un passage dans un vide Idéral pour cause de pas d’ici mais d’ailleurs le novembre passé… en un mot, je me rattrape à la dernière branche de cet Agenda de l’année 2018 🙂
https://ledessousdesmots.wordpress.com/2018/12/02/nous-etions-nus-et-imparablement-fragiles-et-souffles/
Max-Louis
C’est chouette ! Un récit joyeux et une fin de texte bien réelle 😉
Pingback: Nous étions nus et imparablement fragiles et soufflés | Le dessous des mots
Pingback: Décembre, un pingouin sur l’önd (agenda pingouironique) | Carnets Paresseux
A reblogué ceci sur Différence Propre et Singularitéset a ajouté:
Et c’est reparti.
« Et voilàààà… » …:o)
Merci :o)
C’est compliquaride, mais je vais tenter de pingouinriner quelque chose…
On efface presque tout et on écrit du nouveau ou juste un zeste, ce doit être facile pour toi !? Merci de ce compliqué répliquet 😉
Hé hé ! L’épopée du pingouin de décembre n’a pas fini de dire son dernier mot de la fin !
C’est pour nous un moment précieux aussi !
je vais me diriger vers l’ond dont l’anagramme n’échappera à personne.
Délicieuse idée que celle de prendre la fin de nos dialogues un peu fous pour points de départ de nos divagations de décembre.
Heureuse et soulagée que cette idée te plaise 😉 pour divagations et délires habituels