L’été de Théodore de Banville #6
Il brille, le sauvage Été,
La poitrine pleine de roses.
Il brûle tout, hommes et choses,
Dans sa placide cruauté.
Il met le désir effronté
Sur les jeunes lèvres décloses ;
Il brille, le sauvage Été,
La poitrine pleine de roses.
Roi superbe, il plane irrité
Dans des splendeurs d’apothéoses
Sur les horizons grandioses ;
Fauve dans la blanche clarté,
Il brille, le sauvage Été.
Ce sera ma participation aux poésies du jeudi chez Asphodèle (et plutôt ici, chez Martine) et au défi du fil DDF#6, avec cette application brodée du bleuet qui arrive à sa fin, le matelassage est pour bientôt, et cet ouvrage ira rejoindre ma collections de fleurs, mon herbier très spécial.
patchcath 
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Oups, j’ai compris; c’est pour le 21. A demain. 🙂
Oui chère Jacou, j’avais programmé cet article. Désolée, et merci de ton insistance 😉
Chère Patchcath, le lien de ta participation à l’agenda de juillet ne marche pas;
J’ai compris. on pourra le lire à partir du 21. alors à demain. 🙂
Tu sais manier l’aiguille aussi bien que les mots, que de talents !
Merci et bel été 😉
Merci pour ta participation 🙂
Merci à toi et bel été 😉
L’été n’est pas si cruel, donc, il est le temps des roses 😉
Pourtant, tout est déjà brûlé et dire que ce n’est pas à cause du manque de pluie.
Rhône et Saône ont encore un niveau très haut.
Quelques souvenirs de ce Théodore de Banville, Patchcath 😆
Laisse un peu tes ouvrages et profité de l’été 😉
Bon we et gros bisous
Merci So’N, le weekend se présente bien. Les couleurs et la géométrie de mes ouvrages et mes lectures font ma détente. Laisser mes ouvrages, ce serait me punir, vois-tu. Bises, mon amie de Lyon 😉
Merci de célébrer cet été tant attendu … Pourvu que son apothéose dure un peu 🌝
Il n’y a pas de raison que ce soit autrement puisqu’on le souhaite tous 😉
Merci pour ce partage poétique 🙂
Ch Passeur de Mots
🙂
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Même je trouve l’été très agréable, il ne m’inspire pas autant qu’il a inspiré Théodore de Banville.
Cela dit, entièrement d’accord avec lui, quand il écrit :
« Il brûle tout, hommes et choses,
Dans sa placide cruauté. »
Et c’est bien pour ça que je le redoute lorsqu’il devient trop agressif.
Je te l’accorde, mais… il est bien agréable tout de même, ne serait-ce que ce matin, quand je déjeune et lis le dos au soleil. J’ai l’impression que ce sont des petites vacances.