– Saurais-tu me dire quel est le poids d’un flocon de neige ? demanda, un jour, la mésange à la colombe.
– Oh, un tout petit rien, répondit la colombe.
Alors la mésange raconta son histoire à la colombe :
– J’étais sur la branche d’un sapin quand il se mit à neiger. Pas une tempête, non juste comme on aime, comme un rêve, doucement, sans violence. Comme je n’avais rien de mieux à faire, j’ai commencé à compter les flocons qui tombaient sur la branche où je me tenais. J’étais presque arrivée à 4 millions quand le suivant tomba sur la branche et celle-ci cassa. Un tout petit rien, comme tu l’as dit, qui a son importance vois-tu ».
Et la mésange s’envola.
La colombe, connue pour une autorité en matière de paix depuis la nuit des temps, réfléchit un moment et se dit finalement en s’envolant à son tour :
– Et s’il ne manquait qu’une personne pour que tout bascule et que le monde vive en paix ».
(¯`v´¯)
.`•.¸.•´ ★
¸.•´.•´¨) ¸.•’¨)
¸.•(¸.•´(¸.•´ (¸.•¨¯`♥*¸¸.•*¨*• ☆ ¸¸.•*¨*• ☆ ¸¸.•*¨*• ☆
J’en ai accrochés, et des gros sur un rideau passe-porte pour répondre à la 53ème des 53 billets en 2015 chez Agoaye et ceci sera mon dernier billet du projet.
Pour l’instant la neige tombe déjà toute fondue, mais sait-on jamais !
J’adore la philosophie de ce conte.
Bises
Je voulais de la légèreté, mais les nuages étaient lourds et la pluie est tombée… et ce matin le ciel est pâle dans des nuances de roses et bleus…
Un petit rien aérien mais qui peut parfois inverser les plateaux de la balance.
Merci pour cette jolie histoire pleine de signification et d’espoir aussi.
Mo
😉
Belle fin d’année et Joyeuse année 2016… avec où sans flocons de neige ! Biz
Merci Albine, Il pleut à fond ce matin, peut-être que la neige n’est pas très loin finalement! Bises ¸.•(¸.•´(¸.•´ (¸.•¨¯`♥* ¸¸.•*¨*• ☆
Ce petit rien raconté de façon légère, comme un flocon de neige, calme et paisible. Vive toutes les colombes de la paix, envers et contre tout! 🙂
Oui Jacou, « envers et contre tout ».
Belle et bonne fin d’année ••.¸¸☾☆★¸¸.•*¨*••.¸¸☾☆¸.•*¨*★☆ ¨*••.¸☾☆¸.•*
Comme quoi, la goûte qui fait déborder le vase, est l’étincelle qu’on attendait !
tiens je ne sais pourquoi, mais je vais relire « le salaire de la peur », non je plaisante, je pense tout à coup à ce que m’a dit une amie « un simple brouillard venu de la mer suffit à faire reverdir les dunes ». Belle et bonne fin d’année ••.¸¸☾☆★¸¸.•*¨*••.¸¸☾☆¸.•*¨*★☆ ¨*••.¸☾☆¸.•*