Voyager avec toi et admirer tes ouvrages
Entre bonnes pâtisseries et broderies colorées
Rêvant de toiles ivoire, bleu azur ou rose thé
Où viennent s’inventer bien d’autres assemblages.
Nous n’étions qu’atomes aux rencontres impromptues
Ivres de fils, de laines, enivrées de cotons,
Qu’un retour en cuisine transformait en goulues
Un seul regard dans le four perdait notre raison
Et meringues avalées, cafés thés étaient bus…
C’est en pensant à toi que je poste cet article aujourd’hui. C’est en pensant à toi que j’ai eu envie d’essayer ce tricotage, depuis le temps que j’admire ces ouvrages de swing knitting, as-tu déjà essayé? Je rassemblai rapidement mes petits restes de laine, les enroulai en pelotons et choisis des couleurs douces, tendres et claires. J’eus vite fait de monter quelques mailles de manière à faire un petit corps de pull ou de brassière. Il fallait alterner les couleurs et les mailles, et s’arrêter à temps sans trop loin s’en aller.
Je me suis amusée, voyez!. C’est comme ça ici, en toute liberté et c’est le thème demandé pour le troisième billet du défi organisé par Agoyae Pointcom ici.
Pingback: Layette – Brassière et swing knitting | patchcath
Le résultat est bien joli en tous cas !
Merci
Quel mélange savoureux… sucrée et douillet! ^^
C’est comme ça chez elle!
un bel acrostiche et les couleurs se marient bien
merci
Le comm est parti « tout seul ». Désolée.En fait, « enivrées de coton » me rend complètement dingue.
Bises
Emilie
J’aime ce trop plein de commentaires^^
Merci
Bonjour
« enivrées de coton », ca me plait beaucoup… Le coton, doux et blanc comme les meringues!
dingue et meringue, ça rime
et c’est ça chez elle!
Plein de douceur et de tendresse dans le texte et les couleurs. Je suis allée voir le lien que tu as donné. C’est magnifique. Ton premier essai va te donner envie d’en faire plus, ce n’est pas possible autrement! Belle journée
J’ai essayé sur un tout petit morceau, j’aime bien, c’est vrai
Voilà un bien bel acrostiche tout de fils mêlés et de saveurs sucrées 🙂
et oui, la vie est belle parfois
ou
on voudrait qu’elle soit belle