L’Atelier Patchwork a ré-ouvert ses portes. Les idées foisonnent et les travaux en cours vont tous être plus beaux les uns que les autres.
Allongée dans mon lit, j’émerge tout juste de mon sommeil.
Je souris les yeux toujours fermés. Je suis heureuse ce matin car c’est un jour d’exception. C’est mon anniversaire.
Je souris pour autre chose aussi. Je viens de faire une sacrée farce à ce crétin de boucher, maigre comme un jonc, et sa grosse dinde.
J’ai bien vu que cette surprise les a laissés cois et m’a sûrement évité un crêpage de chignon avec cette idiote. Ils ne m’ont pas reconnue, je portais une cagoule.
Dans mon rêve… ils étaient joailliers. Je leur ai chapardé une poignée de bagues en vitrine et j’ai couru pour leur échapper. J’en suis encore toute essoufflée. Serait-ce mon souhait le plus cher de recevoir un cadeau de la sorte ?
J’ose enfin entrouvrir mes paupières. Le soleil entre dans la maison. Leur boutique était aussi lumineuse que ma chambre. Tout était jaune et or.
Mais je suis encore plus éblouie quand je tâte mes mains. Le plus étonnant, tout de même, c’est que les bijoux sont toujours à mes doigts…
C’est ma participation à Des mots une histoire 134 chez Olivia .
Oh oh oh, mais que s’est-il vraiment passé ?
Juste des photos de mains sur nos ouvrages,
et une liste de mots plus amusants les uns que les autres
pour répondre à ce défi
oh les mains pleines de doigts… de bagues !
Si mes rêves étaient exaucés je me remettrais à rêver. 😉
Des bagues et pas des petites saucisses ?
Ce sont mes doigts qui t’inspirent ce commentaire? ;-))
Non, le boucher !
Belle histoire, brève et fantaisiste ; c’est curieux, j’avais aussi envisagé une recette …ça sera pour la prochaine (?) fois 🙂
Je n’étais pas très sérieuse ce jour-là avec ce bouquet de mots
Pingback: Le rideau se baisse | Olivia Billington
tu es la femme aux bijoux
J’aime les bagues, oui;-))
Petite histoire très amusante.
J’ai hésité avec une recette
Je me disais aussi que tu vais beaucoup d’alliances !!! 😆 C’était pour les besoins du scénario, bien ficelé !!! 😀
Non Aspho, c’est plutôt la photo de mes mains qui m’a inspirée ce texte, et les mots étaient tellement drôles que le sujet ne pouvait pas être trop sérieux