Au loin la mer turquoise, faiblement agitée,
Ombragée de palmiers, frémissants sous le vent.
De grands pins somptueux, aux parfums enivrants,
D’oliviers centenaires, par le temps façonnés.
Le chant de la cigale, veut au loin me bercer,
Une douce torpeur s’installe paisiblement,
Sous le soleil d’azur, le corps est languissant,
Il fait bon s’allonger, fermer les yeux, rêver.
Le temps est suspendu, calme et majestueux,
Magiques sont ces instants, au goût si savoureux,
Relevés, pimentés, par le brise marine.
Insidieusement, la mémoire s’enrichit,
Se meuble de douceurs, de pensées féminines.
Irréparablement, le temps passe et s’enfuit.
Au loin la mer turquoise, faiblement agitée,
Ombragée de palmiers, frémissants sous le vent.
De grands pins somptueux, aux parfums enivrants,
D’oliviers centenaires, par le temps façonnés.
Le chant de la cigale, veut au loin vous bercer,
Une douce torpeur s’installe paisiblement,
Sous le soleil d’azur, le corps est languissant,
Il fait bon s’allonger, fermer les yeux, rêver.
Le temps est suspendu, calme et majestueux,
Magiques sont ces instants, au goût si savoureux,
Relevés, pimentés, par le brise marine.
Insidieusement, la mémoire s’enrichit,
Se meuble de douceurs, de pensées féminines.
Irréparablement, le temps passe et s’enfuit.
de Pierre-Etienne FERRIER. Broderie inspirée de la Ronde du Mois Chez Lylouanne.
le turquoise une très belle couleur
J’aime beaucoup les vues successives de la broderie (je ne me trompe pas ?) qui font découvrir les étapes qui disparaissent sous la version finale ; et je ne connais pas Pierre-Etienne Ferrier (un de plus à découvrir !)