Les mots sont proposés et l’histoire continue pour Les plumes 15 et la Solitude d’Asphodèle
…Pour me ressourcer j’avais envie de vivre dans le même espace qu’elles et j’avais besoin de partager quelques jours avec elles. La solitude me pesait et ce manque ne devenait qu’en angoisse. Cet orage intérieur était assourdissant. Je sentais une onde ambivalente et triste m’envahir. Mon esprit naviguait dans les ténèbres. Mon cœur, devenu obsidienne, ne supportait plus ce vide et cette errance dans le silence de leur voix.
Elles n’habitent pas aux latitudes australes. Une seule semaine à marcher dans la rue à leurs côtés, ou assise avec elles à écouter leurs musiques préférées me fut suffisante et bienfaisante.
Je devais les voir un peu pour exister encore. Aujourd’hui j’ai retrouvé la paix et le sourire, et juste ce qu’il me faut de dynamisme pour mes travaux…
Édit : c’est ma participation à Les plumes 15 et la Solitude d’Asphodèle . Les mots imposés sont ceux mis en gras, ou à peu près.
Pingback: La correspondance et les plumes 16 chez Asphodèle | patchcath
« Elles » ont de la chance d’être aimées à ce point!
Joli texte
Elles sont ma vie, et j’aime vivre
merci de cette visite
J’aime beaucoup le coeur qui devient obsidienne ! Les mots sont très proches les uns des autres mais ça passe bien.
oui oui, ça se passe bien, ils ne se superposent pas, et je n’ai pas triché cette fois-ci!
Bon courage pour tes travaux. 😀 Très beau ton texte. 😀 Un peu court à mon goût, on aimerait en avoir un peu plus. 😉
J’essaie et je me soigne, mais c’est toujours un peu court
je sais que tes commentaires encourageants vont m’aider
Mais qui sont-elles en fait? Tes filles? Tes sœurs? Tes amies?
Un peu de suspense pour un texte rondement mené!
mes filles, oui
mes sœurs aussi
Il suffit de peu pour retrouver le bien être , on existe toujours grâce aux autres .Un joli texte.
c’est bon de se rapprocher quelquefois,
tant qu’on peut le faire
Toujours une réussite magistrale dans le court tout en profondeur, j’aime vraiment ! 🙂 bises
oh ça fait du bien, un commentaire de la sorte, merci
et bien encoree un beau texte , je me promene , je lis et me regale
merci bisous
je me régale chez toi aussi
Les mots avaient beau être en gras, je les ai à peine remarqués.
Une fois le texte lu, je me suis dit « quoi, ils y sont tous ? ah oui ».
😀
oui, c’est court Olivia, mais j’y travaille pourtant
merci
Rhaaaa ! Comment fais-tu pour en dire autant en si peu de lignes ! on sens bien ton bonheur de LES avoir, un bonheur éphémère dont il faut profiter… Bravo ! 🙂
Je ne sais pas ce que tu fais mais ces pochettes vont être superbes, j’adore le tissu, j’adore vraiment ! 😀
très encourageant, c’est un bon coup de pouce pour moi, merci
Travaux qui sont magnifiques, et quelle patience, quelle harmonie, vraiment magnifiques !
que c’est bon, tout ça, merci
C’est clair net et précis…chacun sa méthode pour repartir du bon pied ou de la bonne main…
avec le sourire
Les vacances justement permettent de « les » retrouver 😆
Tu vas pouvoir te consacrer à tes petits points, le coeur léger en pensant à Noël pas si loin 😉
Bon we Patchcath et gros bisous d’O.
je sens que je ne vais pas tarder à reprendre des vacances…
bisous d’eau? ça c’est sûr! le ciel n’arrête pas de pleurer
Pingback: LES PLUMES 15 – Les textes de la Solitude ! | Les lectures d'Asphodèle, et les humeurs…