Je restai donc muette sur ce courrier qui avait rayonné juste un peu de temps dans ma poche,
Et cette lettre du château aux jouets n’avait été peut-être que fiction sur ce papier,
Tristement, je sus taire le plus mince commentaire sur cet événement et
Avec bien peu de courage, je pris refuge dans mon travail, mais
Incapable de penser à autre chose, je sentis l’air se rafraîchir et
Mon regard se leva vers la fenêtre, la neige tombait encore
Et c’est vraiment sans déplaisir que je vis ce que les plumes du poète avaient tracé
Edit : c’est ma participation à « Des mots, une histoire« 93ème édition sur le blog d’Olivia Billington. Les mots imposés sont ceux mis en gras.
Si même des plumes des poètes se mettent à tracer sans rimes ni raison, où allons-nous ? 😆 J’aime ton superbe texte. 😀
Très joli texte, très inspiré. Bravo.